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| Akillis 332 rue Saint Honoré 75001 Paris |
Depuis 2007, Caroline Gaspard signe pour Akillis des bijoux qui se remarquent: balles de revolver, lames de rasoir, menottes, cibles... Ainsi la ligne AK porte-t-elle le nom de la fameuse Kalashnikov AK 47 . Seuls l'or ( jaune, rose, balcon ou noir ) et les diamants adoucissent le trait . Mais l'originalité de ces créations qui refusent toute convention en font des pièces qu'on a envie de porter et qui, très vite, ont séduit femmes comme hommes.
Akillis tient son nom du grec Achille mais Caroline Gaspard puise plutôt son inspiration dans l'aventure, le cinéma... A l'arrivée , des pièces uniques, de caractère , contemporaines, qu'elle fait fabriquer à la main par des joailliers lyonnais.
Python, la dernière collection d'Akillis plonge dans l'antiquité égyptienne . Cléopatre , dit-on, portait des pythons enroulés autour de ses poignets en guise de bracelets. On retrouve donc la symbolique des écailles dans cette ligne souple, véritable ode à la féminité orientale, qui ondule et enlace sensuellement doigts, bras, cou ... et qui dansent aux oreilles.
Cette saison, la collection Python s'enrichit de trois pièces d'exception haute joaillerie: trois colliers éblouissants qui laissent rêveuses. Des constellations de diamants qui se déclinent en un sublime 3 rangs (1) serti de 1066 diamants ( 24,42 carats ), un collier 1 rang (3) semi-serti de 248 diamants ( 7,3 carats ) et un collier 1 rang (2) serti de 431 diamants ( 12,02 carats ).
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